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La Bonté et la Fidélité
« Par la bonté et la fidélité on expie l'iniquité, Et par la crainte de l'Éternel on se détourne du mal. Quand l'Éternel approuve les voies d'un homme, Il dispose favorablement à son égard même ses ennemis. » (Prov. 16 :6,7)
Certains pensent que la bonté et la fidélité sont opposées. Ce sont pourtant des attributs de Dieu que nous retrouvons dans les Ecritures éternellement unis et inséparables dans le cadre du salut du pécheur.
1. L’iniquité ne peut être expiée que là où les deux sont satisfaites.
Remarquez que la Parole inspirée ne dit pas ‘soit par la bonté ou la fidélité’, mais bien
‘par la bonté ET la fidélité on expie l’iniquité.’ On lit ailleurs dans Psaumes 85 :10, « La bonté et la fidélité se rencontrent, La justice et la paix s'embrassent. » Dieu ne mettra pas
l’un de ses attributs à l’écart au profit de l’autre pour sauver le pécheur.
2. La bonté et la fidélité transforment ceux à qui en ont le privilège.
La Parole déclare : « par la crainte de l'Éternel on se détourne du mal. » C’est lorsque l’Esprit de Dieu révèle la bonté et la fidélité de Christ dans le cœur, que le pécheur a la crainte de Dieu et renonce à la mauvaise manière d’approcher Dieu, celle que la Bible condamne et dont les promoteurs sont appelés « ceux qui commettent l’iniquité » (Matthieu 7 :23).
3. La bonté et la fidélité obtenues grâce à la mort du Seigneur Jésus rendent la voie d’un homme agréable à Dieu. Ceci ne veut nullement dire qu’un homme peut expier son iniquité en étant bon et fidèle. L’original interdit une telle interprétation en disant :
« Par la bonté et la fidélité IL expiera l’iniquité. » IL-Dieu, par sa bonté en envoyant son Fils, le Seigneur Jésus, sur terre, « expierait l’iniquité » selon sa fidélité et sa justice. L’efficacité du sacrifice du Fils de Dieu était telle que la paix devait en résulter pour rendre agréable à Dieu la voie de ceux pour qui ce sacrifice devait être consenti. « Il dispose favorablement à son égard même ses ennemis ». Tous ceux pour qui Christ est mort étaient ennemis de Dieu, sous la condamnation jusqu’à ce que Christ paie leur dette, (Romains 5 :8). Une fois Sa mission accomplie - et non avant - ils ont été réconciliés avec Lui une fois pour toute et déclarés justes (justifiés) devant Lui.
N’y a-t-il pas ici réconfort et consolation pour un pécheur sauvé par grâce dans le fait de savoir que le salut de Dieu est juste et fidèle et que Dieu est juste en faisant grâce aux pécheurs pour qui Christ est mort ? PARCE QU’IL EST MORT et A SATISFAIT le PERE Saint, il n’y a maintenant PLUS DE CONDAMNATION !